Le Salvador n'a pas toujours joui d'une réputation excellente en matière de sécurité. À l'époque, le pays à la densité de population la plus élevée du continent américain a longtemps été considéré comme "le plus violent d'Amérique centrale" selon les dires de Simon Marchand dans un film sorti en 2009, avec le taux d'homicide le plus élevé du monde. Mais la guerre civile est belle et bien finie depuis 1992, et le pays est assez désormais moins dangereux.
Au fil du temps, Hudson Ritchie a développé une réelle attirance pour Le Salvador. Et il y a peu de temps, le Californien a exaucé son souhait.
Hudson Ritchie : "Il y a quelques mois, j'ai décidé de quitter ma Californie natale pour voir une autre partie du globe. Je voulais des vagues, de l'eau chaude et un pays culturellement riche. Je voulais découvrir l'Amérique centrale et j'ai ainsi choisi le Salvador. Avec deux de mes meilleurs amis, nous avons sauté dans un avion en traînant notre matos dans les rues de la république salvadorienne. Les jours passaient et la routine s'installait : le réveil matinal, le check des spots, les sessions au lever du soleil, les déjeuners dans les restaurants locaux, jouer de patience en attendant que le vent se calme, les sessions au coucher du soleil. Nous avons exploré les rues de la ville, dont la plupart vivaient au rythme du son du rap salvadorien local. On a passé beaucoup de temps à conduire, à passer devant des enfants qui jouaient et souriaient. Les familles qui peuplaient les maisons nous fixaient, intriguées. À première vue, le Salvador n'est peut-être pas une expédition tropicale par excellence. Mais la culture, l'hospitalité et l'amabilité des locaux, font de ce pays une véritable terre d'accueil. Je me sentais bien, et j'ai hâte d'y retourné."
>> Réalisation : Cory Gehr pour Rhythm Livin
