>> Les différents types de vagues autour du globe - Beach break, point break, shore break... On fait le tour de toutes les sortes de vagues à se mettre sous la planche.
L'Océan mondial couvre 70,8 % de la surface de notre hôte, la Terre. Cette surface représente 361 millions de km², autant vous dire que ça en fait, des potentiels spots de surf.
>> Au Portugal, Coxos se réveille - Les habitués ont profité de cette bonne journée sur le spot d'Ericeira.
On n'est pas sur la "houle de la décennie" dont on vous parlait en mars dernier, mais on en est pas loin. Avec un bon 2m50/3m offshore au line up et des habitués comme Aritz Aranburu pour s'en occuper, le spectacle est impressionnant.
>> Joel Rodrigues cartonne à El Fronton - Le jeune portugais affûte ses inverts lors d'un trip aux Canaries.
El Fronton... Ce spot est un des joyaux du bodyboard à l'international. Il est même devenu le lieu d'accueil de la mythique finale des championnats du monde de bodyboard (IBC), le "Gran Canaria Frontón King". Ses creux monstrueux et ses wedges assassins en font le spot ultime de bodyboard, où Jeff Hubbard s'était imposé lors de l'édition 2022 et où Tristan Roberts s'était vu sacrer champion du monde 2022 au nez et à la barbe de Pierre-Louis Costes et d'Amaury Lavergne.
>> Surfer les lacs glacés du grand nord - Une vision bien à part de la pratique du surf.
Aurélien Bouche-Pillon est comme tous les surfeurs : il chérit le surf et chaque session que ce sport lui procure. Pourtant, son surf à lui est très différent du notre, du votre ou d'un surf dit "normal". Non, son surf il se l'est approprié et a imposé cette discipline à un endroit où le simple usage du verbe "surfer" faisait rire ou provoquait l'incompréhension chez la population locale, le lac Michigan.