Il n'impressionne peut-être pas par sa longueur ou sa durée. Mais il fascine mais par sa taille, sa puissance, et l'explosion de son souffle. Il fallait du cran pour oser s'y lancer, de l'audace pour se tenter de se caler sous la lèvre et beaucoup de talent pour tenir sa trajectoire. Pour savoir de quelle vague on parle, rendez-vous à 2mn52 (après avoir regarder le clip en entier, évidemment).
En octobre dernier et en marge du Billabong Pro Ericeira (QS.10000), de solides conditions frappaient les côtes portugaises, et Joan Duru n'a pas résisté à l'appel des tubes qui ont forgé la réputation de cette petite ville de pêche. Mais à force de jouer avec les limites, le surfeur français qui figurait alors sur le Championship Tour s'est fait une belle frayeur suite à un wipeout. Une grosse contusion à la cuisse et des douleurs aux côtes et à l'épaule avaient même remis en question sa participation sur le Quiksilver Pro France.
Après ce fâcheux événement, Joan a passé la plupart de son temps à s'entraîner chez lui, dans les Landes. À la toute fin de la saison, le surfeur de 30 ans a ainsi profité des fantastiques conditions hivernales qui ont gagné le Sud-Ouest de la France.
Réalisation : Andy Benetrix Production
Jusqu'ici, tout allait bien pour Joan Duru au Portugal. Pour se mettre en jambe le Quiksilver Pro France, le Landais s'est s'aligné sur Billabong Pro Ericeira, un QS.10000. De solides conditions frappaient les côtes portugaises, et Joan n'a pas résisté à l'appel des tubes qui ont forgé la réputation de cette petite ville de pêche. Mais à force de jouer avec les limites, le surfeur français qui figure sur le Championship Tour s'est fait une belle frayeur suite à un wipeout. Une grosse contusion à la cuisse et des douleurs aux côtes et à l'épaule avaient même remis en question sa participation sur l'épreuve landaise du CT.
Joan a tout de même joué sa carte à la Gravière, mais son chemin a pris fin au second tour. Retour désormais au Portugal, où le Meo Rip Curl Pro de Peniche jouera un rôle crucial pour la requalification !
Réalisation : Andy Benetrix
One day in Morocco - Maroc - (2016)
"Pas de tube pour une fois à Safi mais une démo de surf backside menée par Marc Lacomare et Joan Duru. Du lever du jour au coucher du soleil, les deux potes landais font leurs gammes et fracassent la droite marocaine", écrivait Surf Session Magazine.
Réalisation : Yannick Loussouarn
Engine Off - Hawaii - (2015)
"On se plaignait il y a peu de ne pas voir assez de clips de Joan Duru. A croire qu'on a été entendus. Après un solide clip sorti le mois dernier, le Landais refait parler de lui aujourd'hui avec Engine Off, une vidéo 100% action dans laquelle il fracasse les murs d'Haleiwa avec sa redoutable attaque backside", écrivait alors Surf Session Magazine.
IndoVibes - Mentawaii - (2015)
"IndoVibes", c'est un clip qui rassemble des séquences filmées à la fin mars 2015 sur l'archipel des Mentawaii. Une époque durant laquelle n'a cessé de cumuler les miles en enchainant les surf-trips : Australie puis Sumbawa avec Maud Le Car, avant de s'envoler en solo vers les Mentawaii pour un boat trip mémorable entre potes. Et encore une fois, Joan reste fidèle à lui même et fracasse sans modération une pléiade de gauches parfaites.
Réalisation : Victor Cestari
Au Chilon - Landes - (2015)
"C'est bien connu, la cuisine du Sud-Ouest est un peu grasse. Mais cela n'empêche pas Joan de s'enquiller un menu gargantuesque avec barrels bien dodus en entrée-plat-dessert. Cette compilation de sessions hivernales 2014-2015 nous montre un Joan toujours aussi volontaire dans des vagues qui ont de quoi en refroidir plus d'un : méchantes, épaisses, ventées et frigorifiques, mais qui surpassent la grande majorité des conditions qu'il rencontre sur le QS. Rien ne vaut une bonne session à la maison", écrivait alors Surf Session Magazine.
Réalisation : Alex Lesbats
My Own Worst Enemy - Landes - (2014)
La vie d'un professionnel est faite de choix, en 2014, Joan trouve l'équilibre entre les bonnes et les mauvaises choses afin de mener à bien son projet. Une histoire racontée dans "My Own Worst Enemy", un court-métrage signé Vincent Kardasik.
Réalisation : Vincent Kardasik
Voir ou revoir :
Filmographie : Kepa Acero
Filmographie : Vincent Duvignac
Filmographie : Lost in the Swell
Filmographie : Arthur Bourbon
Filmographie : Ian Fontaine
Filmographie : Léa Brassy
Filmographie : Damien Castera
Filmographie : Torren Martyn
Filmographie : Gaspard Larsonneur
Filmographie : Adrien Toyon
Filmographie : Lee-Ann Curren
Filmographie : Benjamin Sanchis
Filmographie : Tom et Nelson Cloarec
Fimographie : Marc Lacomare
Filmographie : Tristan Guilbaud
Filmographie : Maxime Huscenot
Filmographie : Charly Quivront