Plusieurs facteurs météorologiques doivent s'aligner pour que la Vaca se montre : une tempête océanique, un petit coefficient de marée et un vent de sud-sud-est. Jusqu'à présent, aucune édition n'avait dû être reportée mais cette année le doute plane. "Les possibilités sont réduites, mais nous devons attendre jusqu'à la fin du mois de mars pour nous prononcer. Il n'y a plus qu'à attendre", confie García.
L'hiver 2017-2018 n'est en effet pas propice aux compétitions de surf de gros. Preuve en est le Nazaré Challenge qui s'est déroulé le week-end dernier avec des vagues entre 6 à 8 mètres seulement malgré le potentiel du spot.
Autre sujet d'inquiétude pour les organisateurs : l'accumulation d'eau sur les terres où l'infrastructure de la compétition devrait être installée, avec aire de jeux, tribune, tentes gastronomiques, écrans géants... Pedro García reste néanmoins optimiste : "Nous allons croiser les doigts et continuer à attendre la journée parfaite".
L'année passée, Natxo Gonzalez et Justine Dupont s'étaient royalement imposés dans des vagues de près de 7 mètres.
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