"Chaque fois que l'on se retrouvait seule à la maison, on courrait vers la plage et on se mettait allait à l'eau. Mais quand on se faisait attraper, on prenait des gifles."
"C'est une claque que je prends à chaque fois que je reviens ici, se retrouver dans ces grands espaces sauvages, c'est unique, intense, on se sent vraiment vivant !"
"Il pleuvait, les vagues qui atteignaient le beachbreak étaient rapides et terminaient souvent en close-outs. Mais quelques bouts passaient", témoigne Alvaro Cobo.